Message d’un soumis #4 Suite (Fétichisme olfactif)

Comme vous le savez j’ai décidé de poster vos courriers les plus intéressants quand vous faites un véritable effort de rédaction.

Ce témoignage raconte une très longue session basée presque exclusivement sur le fétichisme olfactif. Je n’ai pas le souvenir d’avoir gardé quelqu’un aussi longtemps en me consacrant presque uniquement à ce fétichisme. Le soumis en question est un allemand qui vit en Asie depuis des années. Son message était initialement rédigé en anglais mais votre maîtresse l’a traduit pour vous. Comme il était vraiment très long, je l’ai divisé en deux partie. La première est ICI. Voici la deuxième :

Voici donc le message de Theobald. Il décrit la session et met l’accent sur son ressenti.

Message de Theobald

Alors que les minutes devenaient lentement une heure, je ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point certaines odeurs devenaient plus fortes à chaque seconde qui passait tandis que d'autres semblaient s'estomper progressivement jusqu'à finalement disparaître complètement. Ce n’était pas seulement l’odeur elle-même ; il y avait aussi quelque chose de particulièrement satisfaisant à sentir toutes ces différentes textures pressées fermement contre ma peau, comme une sorte d'étrange expérience de privation sensorielle exaltante.

Dans l’ensemble, ce n’est pas une expérience que je recommanderais à la légère à ceux qui recherchent des sensations fortes, car il y a de fortes chances que vous finissiez par regretter votre décision assez rapidement. Cela étant dit, pour ceux qui sont assez courageux et prêts à plonger dans des territoires inconnus comme celui-ci aujourd'hui, il n'y a vraiment aucun autre endroit aussi parfait que le donjon de Divine Jasmine où tout est possible mais où tout le monde gagne à la fin !

Après environ une heure, ce qui semblait une éternité trop courte, Maîtresse Jasmine a retiré cet énorme monticule de ma tête. Puis elle a enlevé les deux chaussures qu'elle avait fixées avec une ficelle ainsi que mon bâillon.

Puis vint la dégustation et le reniflage de salive et crachats, qui impliquaient de collecter des échantillons (pendant mon confinement sous ses chaussures et ses chaussettes), y compris les coins de la bouche, la base de la langue et les profondeurs de la gorge, où la salive a tendance à s'accumuler le plus densément avant de les servir dans une petite assiette pour ma consommation. Chaque goutte contenait une note sucrée et salée. alors que je savourais chaque saveur qui dansait sur mes récepteurs odorants et gustatifs.

Les aisselles vinrent ensuite ; on dit que la sueur n'a pas d'odeur mais laissez-moi vous le dire maintenant – cette affirmation est on ne peut plus éloignée de la vérité grâce à ma douce et cruelle Maîtresse Jasmine qui a accepté de ne pas prendre de douche depuis la veille ! C'est ici que les choses sont devenues intéressantes car contrairement aux chaussures ou aux chaussettes, les corps n'arrêtent pas de produire des odeurs même après la mort, alors imaginez à quel point le parfum a dû devenir riche et complexe au cours de ces longues heures passées soit debout sous les lumières vives des comptoirs des grands magasins, assise et engagée dans une réunion de travail avec des collègues, lors d’une séance de sport ?

Viennent ensuite les mouchoirs et tissus qui avaient été conservés après avoir nettoyé diverses zones de son corps comme le visage, les lèvres, les narines, les paupières, le vagin ou encore l'anus. Croyez-moi, il était impressionnant de voir, ou plutôt deviner (car mes yeux étaient bandés) toutes sortes de résidus rassemblées dans chacun d'eux, mais d'une manière ou d'une autre, savoir qu'elles n'appartenaient qu'à elle rendait finalement tout extrêmement excitant. Ce moment fut accompagné d’un très long jeu extrêmement sadique : Maîtresse Jasmine mettait l’objet à qq cm de mes narines et je devais deviner ce que c’était. Si je me trompais, elle me mettait 5 coups de cravache sur le ventre (libéré du sarcophage), puis elle me collait l’objet sur le nez. Si je me trompais encore elle me mettait encore 5 coups de cravache et me faisait lécher la partie du tissus imprégnée par elle. Et si je me trompais encore, c’était 10 coups de cravache ! Il m’est impossible de dire combien j’en ai reçu mais Maîtresse Jasmine avait trouvé le parfait prétexte pour satisfaire le masochiste que je suis.

Il était maintenant temps de devenir plus intimes avec la culotte portée par Maîtresse Jasmine depuis la veille. Elle posa une de ses box au dessus de mon visage en maintenant ma tète au sol puis s’assit dessus. Son entrejambe et entrefesses était à quelques cm de mon visage. Il lui suffisait de se pencher ou se redresser pour aligner l’un ou l’autre juste au dessus de mes narines. En me fermant la bouche avec une main elle disait régulièrement « Renifle ta maîtresse ! ». Chaque inspiration faisait ressortir des images vives de rencontres ou fantasmes passées lorsque je rêvais d'avoir ces mêmes parties du corps de ma partenaire fermement pressés contre mon visage. Elle resta une bonne vingtaine de minutes assise sur la box avant de décider qu’il était temps de la retirer pour s’asseoir directement sur mon visage. Elle le fit sans aucun ménagement, sans se soucier du confort de ma respiration. Au contraire on sentait qu’elle était très amusée de m’étouffer régulièrement. Ses parfums intimes m’enivraient et je sentais bien l’humidité du tissus directement sur ma peau. Jamais je n’oublierai ce moment interminable pendant lequel elle avait libéré mon sexe du sarcophage et s’amusait à le chatouiller ou le martyriser. J’étais tout simplement au paradis et voulais que ce moment ne finisse jamais.

Puis vint le bouquet final. Elle se leva, retira sa culotte, puis frotta la partie du tissus de l’entrejambe et l’entrefesse contre mes narines et ma bouche. Elle m’ordonna de la lécher jusqu’à ce qu’elle devienne toute propre puis s’accroupit au dessus de mon visage pour une exploration anale et vaginale qui impliquait de renifler autour et sur le rectum jusqu'à finalement atteindre le point culminant lorsque j'ai obtenu la permission de pénétrer mon nez dans les parties les plus sacrées de l'anatomie féminine! Pendant qu’elle écrasait son sexe et son anus sur mon nez et ma bouche, elle disait « Mais tu bandes espèce de cochon ! Tu vas jouir pour ta Déesse !». Elle s’empara de son magic wand et commença à stimuler la base de mon gland avec son jouet. Peu après, elle libéra un jet de pisse interminable sur chaque millimètre de ma peau. Elle fit un peu durer ce moment en arrêtant la stimulation au bon moment puis cria « Jouis maintenant ! ». Quelques secondes après j’ai vécu un des plus grands orgasmes de toute ma vie. J’étais absolument comblé.

Puis Maîtresse Jasmine me dit « Tu te sens bien ? Tu veux être libéré je suppose ? ». Je répondis « Oui merci maîtresse ! ». Mais elle répondit « Mais moi ça ne me suffit pas. Toute ma pisse est tombée dans le plateau sous ta tête. Je vais te retourner et lorsque tu auras tout bu en aspirant fort, je te libèrerai. Je sais que ton excitation est partie avec ta jouissance. Mais tu vas me prouver que tu m’appartiens encore ». Elle me retourna face contre terre et sachant que je n’avais pas le choix, j’obéis à son ordre très méticuleusement. Sur le moment ce fut très difficile car mon excitation était partie avec ma jouissance très récente mais quand je pense à ce moment et à sa détermination, je sais pourquoi je ne pourrais pas me passer de ma maîtresse Divine Jasmine.

Après m’avoir libéré elle m’envoya à la douche et nous discutâmes une bonne heure de tout et de rien après la session. Comme à chaque fois, elle était bienveillante et cordiale après notre jeu. Lorsqu’il fut temps de la quitter, elle m’accompagna à la porte puis me dit « Dis-moi au revoir ». Je me prosterne devant elle, embrasse longuement chacun de ses pieds nus jusqu’à ce qu’elle dise « Ça suffit ». Je me relève, elle me fait un grand sourire, me caresse la joue en me disant « a bientôt ! ». Elle ouvre la porte et je m’en vais…

Pendant que je quittais son immeuble, me sentant à la fois épuisé et étrangement épanoui, toutes mes pensées me ramenaient à une seule chose : l'anticipation de la prochaine session où des aventures similaires nous attendraient à nouveau. Je pense que je suis prêt pour le toilet training maintenant ! J’aimerais que Divine Jasmine m’utilise comme WC la prochaine fois. Il faudra que le lui en parle. En attendant, je souhaite de beaux rêves à tous !

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