Message d’un soumis #4 (Fétichisme olfactif)

Bonjour Divine Maitresse.

Vous trouverez ci-dessous mon récit concernant notre merveilleuse dernière rencontre. J'espère que vous le trouverez assez intéressant pour le publier sur votre site. J'espère aussi pouvoir vous revoir à la mi-mars lors de mon prochain passage à Paris.

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Alors que j'entrais dans le sombre donjon de Divine Jasmine, elle se tenait devant moi, vêtue d'une paire de bottines noires robustes mais élégantes qui accentuaient chaque courbe et contour de ses merveilleuses jambes. On voyait bien que ses bottines avaient beaucoup vécu. Cela était évident d'après les éraflures marquant leur surface ainsi que la poussière et les quelques taches qui les salissaient. Je fus satisfait car elle avait accepté ma demande de porter des chaussures bien usées.

Elle m'a guidé vers le centre de la pièce où un objet noir et menaçant attendait mon arrivée - c'était un sarcophage en cuir dur et froid conçu spécifiquement dans un seul but ; confiner la victime sans défense à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle soit libérée sur ordre.
Avec ses mains fermement agrippées à mes bras, elle m'a conduit dans l'obscurité avant de fixer fermement les sangles sur les bords, ne me laissant aucune chance de m'échapper, sans pitié ni compassion.
Comme si ca ne suffisait pas, Maîtresse Jasmine a ensuite bandé mes yeux et m'a bâillonné la bouche, me forçant à prendre une profonde inspiration par les narines au lieu de la manière habituelle, rendant chaque inspiration plus difficile. Soumettant mon esprit, mon corps et mon âme, sachant très bien qu'elle détient désormais le pouvoir à travers sa main ou sa cravache, prête à frapper chaque fois que cela lui plaît, sans avertissement.

Alors que je suis maintenant fermement enfermé dans ce sarcophage noir et froid, Maîtresse Jasmine commence à déplacer mon corps piégé vers son canapé en cuir rouge où elle a l'habitude de s'asseoir en séance - Je regarde attentivement chaque mouvement se dérouler comme une danse bien chorégraphiée entre le ravisseur et la victime, complices dans cette histoire de soumission et de pouvoir.
Alors que nous atteignions notre destination finale, sa présence se dressait à nouveau au-dessus de la mienne, s'abaissant sur le coussin moelleux avant d'étendre les jambes vers l'avant jusqu'à ce qu'elles reposent sur mon visage, le transformant instantanément en un repose-pieds de fortune permettant à chaque centimètre de sa botte de toucher ma peau.

Mon nez fut immédiatement envahi d'un parfum puissant de cuir vieilli et de sueur très familière aux fétichistes des chaussures portées. "Renifle mes bottes !" » fut son ordre en m'écrasant le nez sous les semelles de ses bottes.

Alors que Maîtresse Jasmine restait assise confortablement sur son canapé et utilisait ma tête comme repose-pieds, elle se pencha légèrement en avant afin de saisir chaque botte avant de les retirer lentement mais fermement des pieds, révélant en dessous une paire de chaussettes sales couvertes de traces laissée après des heures passées à marcher avec tout au long de sa journée.

Et puis soudain, Maîtresse Jasmine a commencé à appuyer chaque botte fort sur mon nez une par une, collant chaque centimètre fortement aux narines, au point que j'avais l'impression que l'odeur de ses bottes envahissait toute la pièce.
Tout d'abord, il y a eu la botte gauche qui, après une inspection minutieuse, est apparue légèrement plus usée que la droite en raison peut-être d'une utilisation excessive. Mais cela n'a pas dissuadé Maîtresse Jasmine alors qu'elle continuait à la presser fermement contre mon visage, forçant chaque centimètre contre les narines pour les remplir d'un parfum complexe et harmonieux pour les amateurs.
Puis arriva la botte droite qui paraissait légèrement moins usée que la gauche mais l'odeur fut encore plus forte et acide.

Finalement, après ce qui m'a semblé être une éternité passée à inspirer profondément par le nez pendant que Maîtresse Jasmine continuait à forcer les deux bottes l'une contre l'autre, elle a relâché sa prise sur les bottes, leur permettant de retomber sur le sol à côté de mon visage, signalant la fin de cette scène particulière tout en me laissant perplexe. Quelles surprises me réserve-t-elle ensuite ?.

Avec chaque botte maintenant retirée de leur place sur mon nez, Maîtresse Jasmine a commencé à bouger les jambes, les faisant pendre librement dans les airs avec ces chaussettes blanches usées imbibées de taches de sueur et de poussière laissées après des heures passées à diverses activités.

Et puis soudain, Maîtresse Jasmine a appuyé son pied gauche sur mon nez, forçant chaque centimètre de sa chaussette odorante sur les narines, les remplissant d'un parfum mélangé alléchant de sueur, de cuir et de poussière. Odeur parfaitement harmonieuse pour les fétichistes expérimentés comme moi.
Puis vint le pied droit qui semblait légèrement moins sali que le gauche - mais bizarrement l'odeur fut plus forte alors qu'elle continuait à le presser fermement contre mon visage, me forçant à renifler très fort sa chaussette sale et à ressentir son humidité à travers ma peau.

Finalement, après plusieurs dizaines de minutes passée à inspirer profondément par le nez pendant que Maîtresse Jasmine continuait à forcer fermement ses deux pieds contre mon visage, puis l'un après l'autre, elle laissa ses pieds retomber sur le sol, signalant la fin de cette scène merveilleuse.

Viennent ensuite ses pieds humides et odorants après avoir retiré les chaussettes avec beaucoup de soin et de précision, comme si elle voulait préserver jusqu'au dernier centimètre de traces. J'ai remarqué que certaines petites zones étaient légèrement noires d’un mélange de poussière, de fibre textile et de sueur qui en feraient fuir certains mais qui rendaient fous les fétichistes extrêmes comme moi. Chaque imperfection ajoutant du caractère à ces pieds qui allait bientôt devenir mon obsession. Ils étaient doux et moelleux au delà de l'odeur et de la moiteur.

Puis elle m'a demandé "Tu en as fini avec les parfums de chaussures et de pieds ?". J'ai dit "oui" à travers le bâillon qu'elle m'avait imposé. Elle repond : "c'est moi qui décide si tu as fini !".

Maîtresse Jasmine attacha ses bottes à mon visage à l'aide d'une ficelle pour qu'elles soient tournées vers l'intérieur ; ce fut fait avec une telle précision que les chaussures sont restées fermement contre mon visage sans tomber à aucun moment jusqu’à ce qu'elle les détache.
Ensuite, une fois que ses bottines furent mises en place avec succès, les choses prirent une tournure intéressante lorsque, de nulle part, est soudainement apparue cette gigantesque pile composée d'au moins 20 paires de chaussures et de chaussettes usées ! Elle a commencé à les poser méticuleusement sur ma tête jusqu'à ce que chaque centimètre soit complètement recouvert d'un matériau odorant ; c'était comme être enterré vivant sous plusieurs couches composées principalement de sueur, de saleté et de poussière accumulées au fil des jours depuis la dernière fois que ces objets avaient été correctement nettoyés. Puis elle a dit : "Je te dirai quand tu auras fini !".

Je devinais une énorme monticule posé sur ma tête, une pyramide d’objets odorants qui obstruaient complètement toute lumière. J’étais plongé dans le noir et chaque inspiration passait à travers cette montagne d’odeurs intimes de Divine Jasmine.