Fluides intimes (hard) : Scato,..

Le scat ou scato, également connu sous le nom de toilet training, implique l’utilisation des excréments dans le cadre d’un jeu bdsm. Avec moi, seuls MES déchets seront autorisés. Même si cela ne convient pas à tout le monde, certaines personnes trouvent ce type de jeu incroyablement excitant et enrichissant. Voici quelques façons d’incorporer le scato dans une relation BDSM où l’accent est mis sur l’adoration de la maîtresse à travers son urine et ses excréments :

1- Adorer à travers les déchets : Dans ce type de jeu, le soumis doit adorer l’urine et les excréments de sa maîtresse comme symboles de sa supériorité et de sa domination. Le soumis peut être amené à embrasser, lécher, toucher ou manger les déchets de la maîtresse en guise de dévotion et de soumission. La maîtresse peut également exiger que le partenaire soumis collecte et stocke ses déchets dans des conteneurs ou des récipients spéciaux, qu’il doit entretenir et chérir pendant sa servitude.

2- Peinture fécale : Dans ce type de jeu, le soumis peint ou étale les excréments de sa maîtresse sur son corps ou son visage afin de montrer son respect et son admiration. Le soumis peut être amené à mélanger différentes couleurs et textures de peinture et d’excréments pour créer des motifs uniques. La maîtresse peut également demander au soumis d’appliquer la peinture fécale sur ses organes génitaux ou d’autres zones sensibles comme une forme de stimulation accrue. Tout cela peut aussi être fait par la maîtresse pour marquer son territoire en humiliant le soumis.

3- Adoration fécale : Dans ce type de jeu, le soumis adore et vénère les excréments de sa maîtresse comme une manifestation de sa beauté et de sa puissance. Le soumis peut être amené à chanter des chansons ou à réciter de la poésie sur les excréments de sa maîtresse, ou à exécuter des danses ou des gestes rituels qui l’honorent et la célèbrent. La maîtresse peut également demander au soumis de photographier ou de filmer ses excréments dans divers décors ou poses, créant ainsi un enregistrement visuel de son adoration.

4- Cuisiner avec les excréments de maîtresse : Certains soumis peuvent profiter de mes excréments dans leur cuisine ou leur pâtisserie afin de m’honorer et de me faire plaisir. Cette pratique peut impliquer l’ajout d’excréments aux recettes traditionnelles ou la création de nouvelles spécialement conçues pour mettre en valeur le goût et la texture uniques des déchets de la maîtresse. Par exemple, un soumis peut préparer un lot de biscuits aux pépites de chocolat en utilisant des excréments au lieu de l’extrait de vanille ou ajouter de la purée fécale à la sauce à spaghetti pour plus de richesse et de profondeur de saveur.

5- Chier dans la bouche de l’esclave : J’aime utiliser la bouche de mon soumis comme toilette. Cette pratique, connue sous le nom de « toilet training», peut impliquer la maîtresse assise au dessus du visage de son soumis pendant qu’elle défèque ou urine, permettant au soumis d’attraper les déchets dans sa bouche. Alternativement, le soumis peut s’agenouiller devant sa maîtresse et ouvrir grand la bouche, servant de réceptacle aux excréments de sa maîtresse. Ce type de jeu nécessite une communication et une négociation minutieuses entre les partenaires pour garantir la sécurité et le consentement.

6- Avaler de force dans un jeu CNC : Dans certains cas, je peux forcer mon soumis à ingérer mes excréments dans le cadre d’un jeun CNC (Consensual Non-Consent). Cette pratique, connue sous le nom de « forced swallowing», peut impliquer que la maîtresse place ses excréments directement dans la bouche du soumis ou le force à boire un mélange contenant ses excréments. Le soumis peut résister au début, mais finit par apprendre à associer les excréments de sa maîtresse au plaisir et à la soumission. La dégustation forcée peut être un outil puissant d’humiliation et de domination dans un contexte CNC, et peut repousser les limites des deux partenaires impliqués. D’ailleurs ce genre de jeu pourrait très bien convenir à des soumis masochistes qui ont besoin d’une raison pour se faire torturer.